☩ Immortalité ► Cylian possède l'âme immortelle. Les blessures ne peuvent l'envoyer à la mort et le prince ne connait ni la maladie, ni la vieille. Si pour une raison ou une autre, l'un de ses membres venaient à être tranché, son corps se volatilisera en poussière pour réapparaitre tout de suite après. En revanche, ce pouvoir ne le protège ni de la douleur, ni de la fatigue. Chaque résurrection le plonge dans l'inconscient. Ce pouvoir n'est activé que grâce à son père qui préserve son âme. Si ce dernier décide de récupérer ce pouvoir, Cylian deviendrait alors aussi mortel que vous et moi.

☩ Invocations Démoniaques ► Ce pouvoir est le seul que Cylian possède qui puisse l'aider sur un champ de bataille. Durant ses années où errait en Enfer, le prince a appris à connaitre chaque créatures qui rôdaient dans le royaume infernal. Avec le temps, il appris à en faire des amis, des alliés. Un puissant lien existe entre ses créature et Cylian. Il peut les invoquer à sa guise en plein combat. Si la créature peut se téléporter, elle apparaitre dans un écran de fumée. C'est le cas de certains diablotins, des cauchemars ou des banshees. D'autres démons ne peuvent pas apparaitre ainsi et pour répondre à l'appel de leur maitre, ils se voient obligés de passer par en dessous. Pas le sol. Ainsi, très souvent, ses démons déforment irrévocablement le paysage.

☩ Malédiction ► Pour très étrange et très subtil. Cylian peut, à l'aboutissement d'une légère incantation et d'un souhait formulé, maudire une personne, ou un groupe d'individus. Maladresse, guigne, fatigue, dépression, mort des proches ou même problèmes de santé, qu'importe. Au début, elle n'est pas détectable. La suite d'évènements tragiques qui frappent la victime ne sont considérés que comme des coïncidences. Mais plus le temps passe et plus la malédiction est évidente. Elle peut, dans certains cas, apporter la mort indirecte de la victime. Pour s'en libérer, il faut que Cylian récite une nouvelle incantation. Sans vouloir entrer dans les détails, le prince des Enfers ne libérera jamais une victime sans que celle-ci aie fait ou accomplie certaines choses. C'est généralement en punition. Il y a aussi une deuxième solution : Aller voir un Oracle qui incantera une prophétie afin de libérer la victime. Mais ce sera au risque de déplaire au Démon.

☩ Aura d'intimidation ► Un pouvoir passif. Ayant passé énormément de temps en Enfers, Cylian dégage une aura démoniaque qui fait fuir toutes créatures vivantes. Elle rend son regard effrayant et l'oblige à rester seul. L'aura est comme une odeur. Il est possible de s'y habituer et de l'oublier pour certains cas. D'autres encore ne supportent pas et vont jusqu'à haïrent Cylian. La réaction des gens des très subjective, certes, mais personne n'y est insensible.

Taille moyenne, rien à déclarer. Le prince des Enfers n'est pas vraiment du genre à ressortir naturellement du lot, si on ne fait pas attention à cette aura d'angoisse qui l'entoure constamment et dont il ne contrôle absolument pas la puissance. La colère peut révéler des images bien effrayantes en ses traits. Cheveux noirs mais les yeux intensément bleus. Un semblant de vie dans un regard mort. Il regarde les gens fixement, avec cet air de supériorité dont il a le secret. Cylian s'habille généralement de vêtements sombres, de noirs unis. La gaieté de ne lui va absolument pas. Et finalement, l'image qu'il donne de lui est très souvent très sombre et très mystérieuse. Ce qu'il n'est absolument pas. Disons plutôt qu'il préserve son intimité.
Lorsque Cylian utilise l'un de ses pouvoirs, ses pupilles se noircissent jusqu'à ce que le blanc de ses yeux ne soit plus visible. Les yeux d'un démon. C'est ce qui lui a valut une très mauvaise réputation auprès des autres héros. Ça et son manque total de sociabilité. Il considère la solitude comme sa seule compagne. Peu de personnes n'ont réussi à retenir son attention. sa sœur, qu'il aime plus que tout, entre autre. Il reste très vague à ce sujet, n'aimant pas faire preuve de sensibilité mais il a prouvé à mainte reprise qu'il ne valait mieux pas s'approcher de sa très chère cadette de trop près. Grand frère veille.
C'est ce qui prouve que Cylian n'est pas vraiment le sociopathe qu'il laisse entendre. Il sait ressentir de l'affection, de l'attachement, et parfois de l'amour. Mais il n'en parle pas, ne le montre pas. Sujet tabou, il considère l'expression de ses émotions comme une preuve de faiblesse. Et il faut savoir que chez lui, la faiblesse n'est pas permise. Le prince est d'une arrogance et d'une fierté exacerbée. Sa dignité est quelque chose d'important chez lui. Lui qui a reçu l'éducation d'un véritable guerrier. Sa nature est restée à d'anciens temps. Il parle, agit comme s'il n'était encore qu'à son antique Grèce natale. Pour cette raison, il a tendance à se croire mieux que quiconque. Un être supérieur, immortel mais à la fois mortel. Ce n'est pas seulement son sang divin, son immortalité ou encore son rang de prince infernal qui va le pousser à agir comme si le monde lui appartenait. Non, c'est plutôt le fait qu'il doit bien être le seul à être revenu du monde des Morts. Bien qu'attaché à son père, il espère arriver, un jour, sur le trône. Il se voit très bien épouser sa belle-mère à qui il voue un respect et un amour déroutant. Tout comme son père, d'ailleurs. On lui dit souvent qu'il lui ressemble. Et c'est parce qu'il lui ressemble qu'il pense être le digne héritier du royaume des Enfers.

C'est à une antique époque que Cylian est né. Son prénom, à mesure que les langues ont évolués s'est aussi modifié. Selon comment ses éphémères amis l’appelaient. Les déformations sont grandes et le prince a toujours voulut coller avec son temps.
Aucune présence paternelle à sa naissance. Ou très peu. Mère partait parfois. Longtemps. Et un jour, elle était revenue enceinte. Cylian ne comprenait pas. Les rumeurs allaient bons train parmi les villageois. Neuf mois plus tard, la solitude fut moins pesante pour l'enfant. L'arrivée d'une petite sœur lui ouvrit l'esprit et le cœur. Une famille, certes étrange, mais merveilleusement bien harmonisée. Cylian, Sélène et maman. En grandissant, le garçon devint un brave jeune homme. L'homme de la maison, le guerrier, celui qui devait protéger les deux femmes de sa vie. Il considéra ce fardeau comme un honneur. Malheureusement, il ne put tenir ses promesses qu'à moitié. Sa mère mourut, laissant ses deux enfants seuls. Le jeune homme jura sur les dieux qu'il protégerait sa sœur. A l'époque, elle n'était pas aussi puissante et terrifiante comme il la connait aujourd'hui.

Quelque temps plus tard, les deux orphelins -du moins ils le croyaient- furent contacté par celui qui se disait leur père biologique. Aubaine ! Cylian n'avait pas vraiment envie de connaitre son père mais finalement, pour leur bien à eux deux, accepta de suivre sa sœur qui, de doute manière, n'allait pas l'écouter. Peut-on parler de surprise ? Le traumatisme dut être immense. Les deux enfants gardent aujourd'hui quelques séquelles. Leur père, un dieu. Le roi des Enfers. Hadès. La découverte fut rude à comprendre. A accepter. Le dieu infernal accueilli ses enfants en sa demeure. Leur fit visiter leur royaume. Les consacrèrent prince et princesse du royaume des Morts. Commença ainsi une vie -ou peut-être l'appeler ainsi- parmi les spectres désincarnés des vivants.
Cylian s’intéressait de très près aux affaires du royaume et à ses administrations. Il apprit aussi à perfectionner ses talents au combat sous la tutelle de nombreux héros morts sur les champs de batailles. Le temps passa et malgré le poids des années sur son bien-être mental, son visage ne prenait aucune ride. Rien d'étonnant. A force de fréquentation, d'observations, Cylian avait réussi à créer des liens très forts avec les créatures des Enfers qui prirent l'habitude d'accourir à la moindre demande de leur nouveau maître. Quelque fusse la distance, chacune des créatures répondaient à son appel. Il devint le seigneur incontesté des démons.
Le temps passa, inchangé, jusqu'à ce que Hadès ne s’intéresse de près à sa nièce. Une ravissante jeune femme dont la beauté avait sut éblouir le monarque des Enfers. Tous connaissent la légende à peu de choses près. Le fils trouvait cette relation étrange. C'était tendu. Il n'aimait pas beaucoup Perséphone. Mais à force de la côtoyer et d'en entendre du bien de la bouche de sa sœur, il fini par l'apprécier. Beaucoup trop. Elle devint une source d'admiration, d'amour et d'amitié. La jalousie, la colère mais aussi le désir de prendre la place de son père ne fit que croitre. Non qu'il n'aimait le dieu infernal, son père, mais son amour était étrange, conflictuel. Il l'aimait tellement qu'il désirait être lui. C'est l'un de ses secrets les mieux gardés, d'ailleurs.

Cette colère qui montait en lui, ce caprice qu'il ne pouvait assouvir, cette envie perpétuelle de détruire son père était insupportable. Et il la savait éternelle. Il tourna le regard vers l'exterieur. Le monde d'en haut. Celui qu'il avait abandonné et qui n'était plus le sien. Il s’intéressa aux récits des esprits des vivants, à écouter chaque histoires du monde d'en haut, à en connaitre toutes les actualités, tous les us et coutumes, toutes les manières et les fonctionnement. Tout cela, jusqu'à ce qu'il ne se décide à partir. Il prévint qu'une seule personne : Sa sœur. Et encore, il lui promis qu'il reviendrait très vite. Lui-même ignorait la date de son retour.
Le soleil, les océans, les vivants, la complexité d'un monde éphèbes, les lois du temps sur l'environnement. Tout cela avait suffit à plaire à Cylian qui fit bien le tour de ce monde comme il le disait. Il visita plusieurs pays, plus contrés, s’intéressa de près à la France, la Grande-Bretagne, la Pologne, la Russie et l'Europe en général. Il partit pour les USA, tomba au Mexique puis remonta avant de partir pour le Japon où il y était resté un peu plus longtemps. Le bonheur. Jusqu'à ce que son père, au courant de sa fugue ne le somme de revenir. Il désobéi. Plusieurs fois. Nouveau recours : Envoyer Sélène. Le soucis était que le monde des vivant étaient bien trop beau pour que sa sœur ne lui résiste. Il lui montra ce qu'il avait découvert, lui fit visiter leur anciens domaines, lui assurant que c'était à elle de décider. Et elle décida. Ensemble, ils continuèrent leur voyage.

Bien qu'excédé, Hadès continua à contacter ses enfants, leur demandant, leur ordonnant de redescendre. Mais rien. Toujours rien. S'ils devaient retourner en Enfer, ce seraient morts. Le message passa. Comme Hadès était buté. Comme il avait perdu un semblant d'autorité. Comme il voulait savoir ses enfants en sécurité, ne comprenant pas qu'à présent, ils étaient devenus assez puissants pour se défendre, il leur demanda une dernière faveur. Une unique. Un compris. Aeden serait leur havre. Chez les vivants, certes. Mais sur l'île. Les héritiers des enfers acceptèrent le marché -Sélène accepta, Cylian suivi- et se rendirent sur la prétendu île perdue.

Arrivé sur place, l'accueil fut glacial. Et Cylian n'avait aucune prétention de devenir ami avec ces gens. Seul les humains l’intéressaient. Pas ces pseudo héros. Sélène s'intégra comme elle put. Et il n'était pas étonnant qu'elle se fasse beaucoup d'admirateurs. Et c'était sûrement calculé. Mais Cylian, possessif et protecteur qu'il est garde un œil sur ces hommes qu'il veille à ce que leur comportement sied à celui d'une princesse. Certains d'ailleurs ont vite fait de s'attirer sa méfiance et même son mépris. Autant dire que peu de gens sur l'île de l'apprécient.

Salut, moi c'est Lowel, mais tu peux aussi m’appeler Lowel. J'ai 3 ans et je viens de Jupiter. Pour faire mon personnage, je n'ai pas put résister à la bouille de Jared Leto. J'ai trouvé le forum grâce à mon chat et je le trouve mignon mais un peu velu. J'espère qu'on va apprendre à se connaitre ! Pour ce faire, je serrait présent(e) seulement le week-end. Je suis un membre exemplaire, j'ai lu le règlement et en voici la preuve: Ok by Lowel. Pour finir, je n'aurais qu'une chose à dire: Tourte...